COLLOQUE – Violence conjugale : explorer les intersections entre la recherche et la pratique

75,00 $ - 200,00 $
COLLOQUE – Violence conjugale : explorer les intersections entre la recherche et la pratique
75,00 $ - 200,00 $
Événement

COLLOQUE – Violence conjugale : explorer les intersections entre la recherche et la pratique

75.00 $200.00 $ + taxes applicables

Ce colloque permettra aux participants d’approfondir et de mettre à jour leurs connaissances quant aux données probantes et de pratiques novatrices s’adressant soit aux victimes, soit aux auteurs de violence conjugale, et ainsi d’améliorer les perspectives d’intervention, d’action et de prévention en la matière.

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En format virtuel
En présentiel
16 février 2024
1 jour
Centre Mont-Royal (2200 Rue Mansfield, Montréal, QC H3A 3R8)
Les inscriptions sont fermées

Violence conjugale : explorer les intersections entre la recherche et la pratique

 

Colloque Violence conjugale : explorer les intersections entre la recherche et la pratique - 16 février 2024

16 février 2024

Nombre de places limité!

Date limite d’inscription : 9 février 2024

 

Une initiative de Forensia, le Centre de formation de l’Institut national de psychiatrie légale Philippe-Pinel

 

                           Observatoire en justice et santé mentale

 

Forensia est heureux de vous inviter à la 2e édition* de son colloque portant sur la violence conjugale, intitulé « Violence conjugale : explorer les intersections entre la recherche et la pratique ». Celui-ci aura lieu le 16 février 2024 à Montréal, au Centre Mont-Royal.

 

Ce colloque s’inscritdans la programmation de Forensia en violence conjugale émanant de récents travaux de recherche et initiatives dans le domaine. Il vise à répondre aux besoins grandissants et éloquents des milieux concernés d’améliorer leurs connaissances et les perspectives d’intervention. Cet événement offre un portrait de l’état des connaissances, de la prévention et de l’intervention en matière de violence conjugale. Il traite des initiatives novatrices, des pratiques d’intervention et de la collaboration entre la recherche et les milieux de pratique. Des conférences abordant un vaste éventail de thématiques tels que l’inclusion LGBTQ+, les réalités autochtones, les conséquences des violences sexuelles et les trajectoires d’auteurs de violences conjugale seront également présentées.

 

Ce colloque s’adresse aux intervenant·e·s et professionnel·le·s – criminologues, travailleur·euse·s sociaux·ales, éducateur·trice·s spécialisé·e·s, médecins, infirmier·ère·s – oeuvrant auprès de personnes victimes ou d’auteurs de violence conjugale, de même qu’aux chercheurs·e·s, étudiant·e·s, décideur·euse·s, et les autres parties prenantes interpellées par la thématique

 

Objectifs : 

 

  • Présenter un portrait de l’état des connaissances et des pratiques actuelles en prévention et en intervention en matière de violence conjugale.
  • Explorer des initiatives de collaboration entre la recherche et les milieux de la pratique en violence conjugale et leurs retombées constatées ou anticipées.
  • Encourager le partage d’expériences et de connaissances entre les milieux de la recherche et de la pratique, favorisant ainsi une meilleure compréhension mutuelle des enjeux et des solutions possibles et la mise en œuvre d’actions plus efficaces.
  • Présenter et discuter des approches nouvelles ainsi que des pratiques d’intervention novatrices dans le domaine de la violence conjugale.

 

Au plaisir de vous compter parmi nous le 16 février prochain!

 

 

*Forensia produisait, le 17 mars 2023, son premier colloque en violence conjugale ayant permis de rassembler plus de 500 personnes.

Programme

7 h 45 – Accueil des participants

 

8 h 30 – Mot de bienvenue

 

8 h 45 – Plénière

Des milieux de pratique au service de la recherche à la recherche au service de la pratique : un virage déterminant

Présentatrice :

Marie-Marthe Cousineau, Ph.D.

Professeure titulaire, École de criminologie, Université de Montréal; Directrice universitaire, Collectif de recherches et d’actions SAS-Femmes

 

9 h 45 – Pause

 

10 h 05 – Présentations simultanées

Bloc A

Développer une formation sur l’intervention en violence conjugale chez les populations LGBTQ+ basée sur la recherche

Présentatrice :

Sylvie Thibault, Ph.D.

Professeure, Département de travail social, Université du Québec en Outaouais

Co-auteur·trice·s :

Rebecca Angele

Professionnel·le de recherche, Faculté des sciences sociales, Université Laval

Valérie Roy, Ph.D.

Professeure, École de travail social et de criminologie, Université Laval

L’interruption de la violence conjugale et familiale d’adultes autochtones au Québec

Présentatrices :

Renée Brassard, Ph.D.

Professeure, École de travail social et de criminologie, Université Laval

Mylène Jaccoud, Ph.D.

Professeure, École de criminologie, Université de Montréal

La violence conjugale et sexuelle en milieu autochtone

Présentatrice :

Maureen Hervieux

Coordonnatrice du soutien aux initiatives en violence conjugale et sexuelle, Femmes autochtones du Québec

 

Bloc B

Prévalence et conséquences des violences sexuelles pour les femmes victimes de violence conjugale

Présentatrices :

Louise Lafortune

Responsable des dossiers liés à l’intervention et à la problématique, Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale

Mylène Fernet, Ph.D.

Professeure, Département de sexologie, Université du Québec à Montréal

Le modèle PEVC : Vers un renouvellement des pratiques d’intervention auprès des enfants vivant en contexte de violence conjugale 

Présentateur·trice·s :

Simon Lapierre, Ph.D.
Professeur, École de service social, Université d’Ottawa

Marie-Noëlle Maurice
Directrice, Institut PEVC (Protection des enfants en contexte de violence conjugale)

Co-autrices :

Isabelle Côté
Professeure agrégée, École de Service Social, Université Laurentienne

Alexandra Vincent
Candidate au doctorat, Service social, Université d’Ottawa

L’analyse de nos données clientèles : à la source de l’amélioration de nos pratiques 

Présentateur·trice·s :

Isabelle Plante

Cheffe de division Recherche, développement et stratégie organisationnelle au Service de police de la Ville de Gatineau

Nicolas Côté

Coordonnateur de projet en violence conjugale, Service de police de la Ville de Gatineau

 

11 h 30 – Repas du midi

Visite des présentations par affiches et des kiosques

 

13 h 30 – Présentations simultanées

Bloc C

La ligne REBÂTIR : une approche innovante, des résultats concrets

Présentatrices :

Me Marie-Claude Richer

Avocate et directrice, REBÂTIR

Me Élise Joyal-Pilon

Avocate et directrice adjointe, REBÂTIR

Prise en charge des victimes de violence entre partenaires intimes en pharmacie

Présentateur :

Simon Matoori, Ph.D.

Professeur adjoint, Faculté de pharmacie, Université de Montréal

Lutter contre les violences conjugales avec et pour les femmes du quartier de Parc-Extension de Montréal

Présentatrices :

Monica Schlobach, Ph.D.

Chercheuse, Institut de recherche sur l’immigration et les pratiques interculturelles et inclusives – IRIPII

Claire Alvarez

Auxiliaire de recherche, Institut de recherche sur l’immigration et les pratiques interculturelles et inclusives – IRIPII

 

Bloc D

La détresse psychologique en contexte de rupture amoureuse et ses corrélats : une étude auprès d’hommes qui consultent une ressource d’aide spécialisée en violence conjugale

Présentatrice :

Caroline Dugal, Ph.D.

Psychologue et professeure, Département de psychologie, Université du Québec à Trois-Rivières

Co-autrices :

Katherine Péloquin, Ph.D.

Psychologue, professeure, Département de psychologie, Université de Montréal

Marie-Ève Daspe, Ph.D.

Psychologue, professeure, Département de psychologie, Université de Montréal

Claudia Savard, Ph.D.

Psychologue, professeure, Département des fondements et pratiques en éducation, Université Laval

Marie-France Lafontaine, Ph.D.

Psychologue, professeure, École de psychologie, Université d’Ottawa

Natacha Godbout, Ph.D.

Psychologue, professeure, Département de sexologie, Université du Québec à Montréal

Audrey Brassard, Ph.D.

Professeure titulaire, Département de psychologie, Université de Sherbrooke

Les violences conjugales au travers du prisme de la parentalité et de la dissociation

Présentatrices :

Suzanne Léveillée, Ph.D.

Psychologue et professeure, Département de psychologie, Université du Québec à Trois-Rivières

Telma Mimault

Candidate au doctorat, cotutelle Université du Québec à Trois-Rivières et Université de Lorraine, France

Co-auteur·trice·s :

Dr Yann Auxéméry
Psychiatre, secrétaire général de la société Médico-Psychologique et attaché à l’unité de recherche mixte INSPIIRE portée par l’Université de Lorraine et l’INSERM

Cécile Kowal
Psychologue, Praxis (Belgique)

Trajectoires des auteurs de violence conjugale : une revue systématique

Présentateur :

Etienne Garant
Candidat au doctorat, École de criminologie, Université de Montréal

Co-auteurs :

Frédéric Ouellet, Ph.D.
Professeur, École de criminologie, Université de Montréal

Alexandre Gauthier
Candidat au doctorat, École de criminologie, Université de Montréal

Jean Proulx, Ph.D.
Professeur, École de criminologie, Université de Montréal

 

14 h 55 – Pause

 

15 h 15 – Plénière

S’unir pour prévenir : la recherche collaborative au service de la prévention de la violence au sein des relations intimes

Présentatrices :

Audrey Brassard, Ph.D.

Professeure titulaire, Département de psychologie, Université de Sherbrooke

Sabrina Nadeau

Directrice générale, À coeur d’homme

Martine Hébert, Ph.D.

Professeure titulaire, Département de sexologie, UQAM

Mylène Fernet, Ph.D.

Professeure titulaire, Département de sexologie, UQAM

 

16 h 15 – Mot de la fin

L’Honorable Elizabeth Corte

Ex-juge en chef de la Cour du Québec

Coprésidente du comité d’experts sur l’accompagnement des victimes d’agression sexuelle et de violence conjugale

 

16 h 30 – Fin du colloque

Résumé des plénières et biographies des conférencières

Plénière

Des milieux de pratique au service de la recherche à la recherche au service de la pratique : un virage déterminant

Longtemps la recherche a été alimentée par les milieux de pratique appelés à collaborer en fournissant les échantillons de personnes – expert.e.s de vécu, intervenant.e.s ou gestionnaires – acceptant de nourrir la recherche en répondant à des sondages, en se prêtant à des entrevues individuelles ou de groupes, sans que nécessairement les milieux concernés ne soient même informés des résultats de la recherche publiée d’emblée dans des revues savantes pas toujours voire rarement accessibles. Voilà un reproche que les chercheur.e.s ont beaucoup entendu sans toutefois, pendant longtemps, y porter vraiment attention. Les milieux de pratique sont en retour devenus de plus en plus frileux vis-à-vis des demandes de collaboration sans engagement en retour de la part des chercheur.e.s de « redonner – communiquer aux milieux de pratique » le fruit de leurs travaux. Dès lors sont apparues de nouvelles pratiques de recherche appliquée : recherche action, recherche communautaire, recherche participative, recherche partenariale pour ne nommer que quelques vocables qui décrivent cette nouvelle pratique de recherche collaborative. L’aventure ne va cependant pas toujours de soi; l’agenda tant politique, méthodologique, pratique que chronologique des milieux communautaires ou institutionnels d’intervention auprès des femmes victimes de violence et celui des chercheur.e.s ne correspondent pas nécessairement d’emblée. Depuis une quinzaine d’années, nos équipes – Trajetvi puis SAS-Femmes – se sont attardées à documenter les bonnes pratiques de la recherche et des actions partenariales. Notre présentation aura pour objet de partager les enseignements tirés de l’expérience, de manière à Partir du bon pied pour réussir son partenariat alliant milieu académique et milieux de pratique, recherches et actions.

 

Marie-Marthe Cousineau, est professeure titulaire à l’École de criminologie de l’Université de Montréal depuis 2006 et directrice universitaire du Collectif de recherches et d’actions SAS-Femmes (FRQSC-équipe en partenariat) depuis 2020. Elle a obtenu en carrière un grand nombre de subventions des trois grands Conseils et d’autres sources, dont un CRSH-Partenariat qui a supporté une dizaine d’années de recherches et d’actions partenariales sur les Trajectoires de vie, de violence, de recherche d’aide et de recours aux services des femmes victimes de violence conjugale en contexte de vulnérabilité (Trajetvi.ca, 2013-2022) et plus récemment un FRQSC équipe en partenariat soutenant le Collectif partenarial SAS-Femmes visant à assurer la sécurité, l’autonomie et la santé de toutes les femmes (SAS-Femmes.com) par ses recherches et les actions qu’elles entraînent. Elle est cotitulaires de la Chaire McConnell-Université de Montréal en recherche création sur La réappropriation de la maternité : libérer la parole et le corps des femmes. Les activités de Trajetvi ont notamment culminé dans la parution aux PUQ en 2022 d’un ouvrage collectif Pratiques et recherches féministes en matière de violence conjugale : coconstruction des connaissances et expertises, comptant 22 chapitres (510 pages) regroupant les contributions de 55 autrices et auteurs issus des milieux académique – chercheur.e.s et étudiant.e.s – et de la pratique. Trajetvi a aussi été l’occasion d’instaurer les Écoles d’été sur les violences faites aux femmes (cinquième édition à venir à l’été 2023) qui accueillent conjointement des étudiant.e.s de diverses disciplines, des intervenante.s. et des gestionnaires concernés par la question, dans une démarche de formation continue. Les travaux de Trajetvi ont en outre significativement influencé de nombreuses recommandations du Comité d’experts sur l’accompagnement des victimes d’agressions sexuelles et de violence conjugale nourrissant le rapport Rebâtir la confiance et au Plan d’action gouvernemental en matière de violence conjugale 2018-2023.

Avec une foule de collaboratrices et collaborateurs, Marie-Marthe Cousineau a produit une centaine d’articles, chapitres de livres et rapports scientifiques et de vulgarisation, et formé tout autant d’étudiant.e.s en recherche au baccalauréat, à la maîtrise et au doctorat, dont dix doctorantes devenues professeures dans différentes universités (UQAC, UQTR, UQO, ULaurentienne, UMoncton) ou chercheures séniores dans les instituts de recherche en santé et services sociaux. À ce titre, sa contribution à la formation de la relève est substantielle.

 

Plénière

S’unir pour prévenir : la recherche collaborative au service de la prévention de la violence au sein des relations intimes

Cette plénière vise à présenter les retombées scientifiques et pratiques de programmes de recherche collaborative innovants visant à comprendre, prévenir et intervenir en matière de violence conjugale et sexuelle. On y retrouvera les résultats de diverses initiatives visant, notamment, la promotion des relations amoureuses positives destinées aux adolescents et adolescentes, la prévention de la violence sexuelle au sein des relations intimes des jeunes, ainsi que la compréhension des facteurs sous-jacents à l’abandon des services thérapeutiques destinés aux auteurs de violence, un important facteur de risque de la récidive. Cette plénière mettra également en lumière les riches retombées des programmes de recherche reposant sur une démarche de co-construction conjointe entre des équipes de recherche, des organismes partenaires et des personnes participantes des publics cibles.

 

Audrey Brassard, professeure titulaire au Département de psychologie de l’Université de Sherbrooke, est une chercheuse de renom dans le domaine de la violence conjugale. Son expertise repose sur plus de 15 ans de recherche collaboratives avec des organismes spécialisés dans l’intervention auprès des auteurs de violence. Spécialiste de la théorie de l’attachement, elle utilise plusieurs cadres théoriques pour mieux comprendre comment les individus en viennent à poser des gestes de violence dans leurs relations intimes. Auteure de plus de 100 articles scientifiques publiés dans des revues nationales et internationales, elle a contribué à des centaines de présentations scientifiques et ses travaux ont reçu des milliers de citations. Les instruments de mesure du fonctionnement conjugal qu’elle a validés sont utilisés dans plusieurs pays et traduits dans plusieurs langues. Ses travaux ont un impact significatif sur la société en contribuant à la prévention et à l’intervention en matière de violence conjugale.

 

Martine Hébert (Ph. D. en psychologie) est professeure titulaire au Département de sexologie de l’Université du Québec à Montréal et détient la Chaire de recherche du Canada niveau 1 sur les traumas interpersonnels et la résilience. Elle est également co-titulaire de la Chaire interuniversitaire Marie-Vincent sur les agressions sexuelles envers les enfants et elle dirige l’Équipe FRQ-SC Violence sexuelle et santé (ÉVISSA). Elle est membre du Centre de recherche interdisciplinaire sur les problèmes conjugaux et les agressions sexuelles (CRIPCAS).

Ses principaux champs d’intérêts de recherche sont les agressions sexuelles envers les enfants et la violence au sein des relations amoureuses des jeunes. Ses projets de recherche portent sur l’identification des facteurs liés à l’adaptation chez les jeunes ayant dévoilé une agression sexuelle et sur l’exploration de la diversité des profils chez les victimes. Ses travaux tentent aussi d’identifier les facteurs liés aux trajectoires de résilience et de revictimisation. Elle a par ailleurs réalisé, en collaboration avec différents milieux de pratique, plusieurs études évaluatives portant sur des interventions préventives et thérapeutiques auprès des enfants et des adolescent.es.

 

Mylène Fernet est professeure titulaire au Département de sexologie de l’UQAM. Elle est détentrice d’un doctorat en santé publique et d’une maîtrise en sexologie. Elle est titulaire du laboratoire d’études sur la violence et la sexualité (FCI). Elle est membre de l’Équipe Violence Sexuelle et Santé (ÉVISSA) et du Collectif de recherches et d’actions pour la Sécurité, l’Autonomie et la Santé des femmes (SAS-Femmes). Chercheure régulière au Centre de recherche interdisciplinaire sur les problèmes conjugaux et les agressions sexuelles (CRIPCAS), ses champs d’expertise sont liés aux violences vécues en contexte de relations intimes chez les adolescentes et les femmes. Elle a, entre autres, participé au développement et à l’évaluation d’interventions en prévention de la violence et en promotion de la santé sexuelle misant sur des approches participatives. Elle a participé à l’élaboration de nombreux outils de de sensibilisation et à des campagnes de sensibilisation grand public visant notamment les violences sexuelles et cyberviolences en contexte de relations intimes.

 

Diplômée en droit de l’Université Laval en 1994, spécialisée en droit criminel et pénal, Sabrina Nadeau est directrice générale de l’association à cœur d’homme. L’Association regroupe 30 organismes offrant des services aux hommes auteurs de violence conjugale et familiale. Elle possède également une expérience clinique comme intervenante auprès de cette clientèle dans un organisme membre d’À cœur d’homme.

Lieu

Le colloque aura lieu au Centre Mont-Royal (2200 Rue Mansfield, Montréal, QC H3A 3R8).

Accréditations professionnelles

Ordre des psychologues

Cette activité de formation continue est reconnue par l’Ordre des psychologues du Québec (OPQ). Le numéro de reconnaissance de l’OPQ : RE06038-24.

Politique d'annulation, de remboursement et de non transférabilité

Toute demande d’annulation doit être communiquée sans délai à Forensia.

Des frais administratifs de 50 $ seront retenus sur le tarif payé pour toute annulation effectuée avant le 15 janvier 2024. Aucun remboursement ne sera effectué pour toute annulation effectuée à partir du 15 janvier 2024.

Les inscriptions sont non transférables à d’autres participants.

Contact

Informations sur l’inscription :

 

Illustration

Lise
Sans titre, 2022
Techniques mixtes sur papier
38 X 48 cm